Refrain 

Victoire que j'aime sentir ton parfun 
Quand je t'ai au creux de mes mains 

Melopheelo 

J'ai du me battre sans relâche tu sais pour y arriver 
Car la gloire on ne l'achète pas faut la mériter 
J'travaille comme un type qui n'a plus de limites 
Fait mon taf correctement pour assumer la critique 
Toi si tu veux battre un record être fort 
Dans ta musique faut doubler tes efforts 
Tout ce que j'apporte à un sens 
Les idées vivent après les hommes 
Et moi j'eveille les consciences 
Pour la postérité j'marque des points 
Tous les jours des frères me suivent 
Parlent d'expériences de paix d'amour 
Et toi dans ton coin ne sois pas pessimiste 
Moi j'ai bossé dur mon coeur porte toujours ces cicatrices 
J'ai eu des moments de joie parfois la peur au ventre 
Mais je n'ai jamais voulu baisser les bras nos paroles sont efficaces 
Elles vont frapper ta mémoire 
Et quand ce sera fait on aura touché la victoire 

Refrain 

ZOXEA 

On était mené au score c'était en finale de coupe 
Dans les gradins alors j'ai reçu comme un signal de troupe 
Des supporters criaient mon nom il y avait ma mère et mon oncle 
Une ambiance funk chaude un peu comme en guadeloupe, non? 
On pouvait pas baisser les bras on réunit le groupe à la mi-temps 
On se dit qu'on s'les fera en plus 
Ce serait l'unique coupe ramenée au club 
Ah ça en ferait de la pub à nos adversaires auraient le-ma 
Mais pour nous ça serait de la le-ba 
Donc ce qui devait arriver arriva 
Zoxea se mit à dribbler einter marquer doubler tripler 
Puis la foule se mit à crier 
Viva cool divin ma technique j'y vient 
C'est un mélange de Pelé Ziko Ronaldo Marado Papin Toko Platini 
Et plein d'autres comme Whea Milla enfin Garrincha 
Et tous les autres qui rendaient les stades pleins de France au benin 
J'ai le football plus le rap en main gus 
Même si plein de frangins te sucent j'garde la tête froide comme Findus 

Refrain 

Dany Dan 

C'était un vendredi soir après le studio 
La musique dans ma tête et mon sac sur le dos 
J'avais du blé dans mes poches, rendez-vous au resto 
Avec une vraie déesse 
Le lendemain j'faisais un match de basket 
Sous le soleil, comme un putain d'aztèque 
J'avais fait le fête, la veille mais j'étais sur le terrain, 
Bas de survet' bleu-marin et casquette 
La balle était lourde dans ma main comme une pastèque 
Bourdes sur bourdes, j'faisais vraiment rien de fantastique 
Pas du tout apte à une pareille gymnastique 
Tony me vanne, me traitant de joueur en plastique 
C'était l'après-midi d'un samedi classique 
Sur le playground il faisait beau, 
On écoutait de la zic' pas d'alcool ni de bédo, 
Il ne s'agit que de sport mais j'aurais du faire du vélo, 
Ça devenait gore suant de tout le corps 
Je ne pouvait plus voir clair mené au score, 
J'crachais mes poumons par terre 
J'aurais aimé être dans l'équipe adverse 
Je me la serait coulé douce en défense, pas de stress 
Je me suis dis ça quand Tony smatcha sur ma face noire 
Et qu'ensuite, plein d'allégresse son équipe cria victoire
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