Que celui-ci qui se rechauffe seul a l'atre Ne suive les moutons, n'en devienne patre Se rejouisse en une fete qui sait ? D'un mort, d'une vie,belle mer fait-elle pitie ? D'une facon bien douce et par milliers J'arriverai suivi d'oreilles blessees Cette grace me sussure le paradis J'irai et je dirai aux ames unies Par tous tes doutes la vie s'efface Par tous les aigles du ciel en chasse Par la puissance de leur hotte / de leurs bottes Par tous les fauves unis en force Si nos cœurs sont de hauts murs qui divisent Ayant en eux les plus puissants delices Je cherche la source mais la vie m'assaille Et j'agite du bout d'un doigt medailles Diabolise toutes tes faiblesses Angelise toutes tes bassesses…